En direct de la salle de presse où il y a un ordinateur à disposition, voici mon compte-rendu de la journée d’hier ! Suivez-moi !
11h : Je fais du JDR
Comme l’année dernière, je décide de débuter mon séjour en Utopiales par une partie de jeu de rôle. Avec mes deux colocataires, nous voilà embarquées dans un univers cyberpunk pour y incarner des technomanceurs, mi-homme, mi-machine. Je réponds au doux nom de Gertrude !
Le jeu, une adaptation de Royal Blood, se joue avec des cartes de tarot. Très participatif, il demande une grande implication des joueurs, ce qui est très intéressant. Le maître de jeu était super, si vous venez aux Utopiales aujourd’hui, cherchez Antoine, il y sera toute la journée !
13h : Je vais à des expos
J’ai ensuite essayé d’aller à une conférence, mais impossible de se concentrer. Je suis donc allée voir les expositions. Celle de Bajram, qui a illustré l’affiche, était pas mal, mais comme je n’ai pas lu Universal War, je n’ai pas été très intéressée par les planches.
Science Machina était très intéressante, j’ai appris beaucoup de choses et j’ai apprécié les planches de bande dessinée qui accompagnaient les explications. A voir !
Enfin, Prototypes du Grand Napotakeu valait le coup d’œil, notamment pour ses installations.
15h : Je prépare Noël
J’ai aussi fait la file pour dédicacer un futur cadeau de Noël (mais je garde les détails secrets).
Conclusion : vive les Utopiales !
Une journée fort agréable, où je n’ai pas fait beaucoup de conférences mais j’ai pas mal traîné et papoter avec des gens. J’avoue que ce sont les moments que je préfère dans un festival : traîner et sentir l’ambiance spécifique des lieux.
Et vous, comment se passent vos Utopiales ?
Première journée bien remplie également (la seule, en fait. Pas le choix cette année) ! Dans la même file à 15h, juste devant, pour faire dédicacer un livre par le même auteur, mais pas pour noël (et pas le même livre d’ailleurs)…
Table ronde avec Masse. Je connaissais les dessins, mais pas le bonhomme.
Les autres tables rondes (le vaisseau comme personnage et Figures de l’inventeur dans l’imaginaire contemporain) étaient constructives. Comme cela arrive parfois durant les tables rondes, ils ne se paraphrasaient pas les uns les autres, donc, même dans les cas où ils n’avaient pas grand chose à dire, ce petit peu avait de l’intérêt.
L’équipe du Bélial’ était aux petits oignons pour les contributeurs de Gotland, très chouette rencontre !